Communiqué de Delphine Batho, Députée des Deux-Sévres, porte-parole de Ségolène Royal

Publié le par Désirs d'avenir Paris 16

 

 

Merci à Messieurs Copé et Lefebvre de leurs réactions, si excessives et outrancières qu'elles finissent par devenir l'hommage du vice à la vertu de la pugnacité de Ségolène royal. 
  
Ces réactions injurieuses illustrent malheureusement à elles seules ce que nous dénonçons : la conception archaïque du débat politique républicain et du dialogue social qui est celle de la droite. 
  
Ce matin, Monsieur Lefebvre n'a trouvé comme seule réponse que de colporter une fois de plus des contre-vérités affligeantes. 
 
Pourtant le porte-parole de l'UMP devrait pouvoir réciter par cœur le jugement de la Cour de cassation qu'il évoque. Car il s'est très personnellement chargé de le médiatiser le 20 avril, au lendemain de la polémique sur les propos de Nicolas Sarkozy concernant Jose Luis Zapatero, alors que cette décision de justice datait du 8 avril... 
 
C'est aussi un hasard, bien sûr, si l'acharnement judiciaire d'Evelyne Pathouaut, aujourd’hui assistante d’un député UMP, a commencé plus d'un an après les législatives de 1997,  et a été soutenu par l’UMP locale, et notamment par Dominique Paillé, battu en Deux-Sèvres aux dernières élections législatives. 
 
Tout au long de cette procédure, à aucun moment la justice n'a mis en cause la bonne foi et l'honnêteté de Ségolène Royal. Les affirmations de Monsieur Lefebvre relèvent donc de la définition même du mensonge.

Publié dans Ségolène Royal

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article